| |
 |
User-agent: * DisalloW |
 |
|
 |
|
|
... |
|
|
 |
|
Vous naviguez actuellement dans la
Section du Site |
|
Articles
Significatifs
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
N'oubliez
pas vos commentaires
|
|
|
|
|
|
ATELIER |
|
Articles
Significatifs
|
|
N° 8
| | |
|
Nouveaux
convertis à l'Islam Le
phénomène toucherait 3.600 personnes environ
par an en France.
|
| |
|
|
À
qui faut-il s'adresser pour obtenir une demande
extraordinaire
?
|
 |
Prions
Marie Médiatrice pour que
nous soyons exaucés |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
 |
24-08-2006
Où
sont nos racines ? Ne serait-il pas temps d'y penser
avant que nos petits enfants en perdent l'origine ?
Après avoir lu cet article, il est évident que pendant
des décennies nous avons cassé du bois sur le dos des
Catholiques qui d'instinct voulaient préserver nos
racines. En les critiquant, qu'ils nous envahissaient
avec Dieu, qu'il valait mieux laisser Dieu tranquille de
son côté, pour vivre d'une autre façon plus libre
de notre côté.
Les choses ne sont pas
aussi simple et nous voyons poindre dans un avenir très
proche l'émergence d'une religion qui n'est pas la nôtre,
un jour elle sera imposée à nos petits enfants sans
qu'ils puissent la refuser.
Généralement un pays
accepte des émigrés avec l'espoir qu'ils s'intègreront
facilement aux coutumes du Pays et à sa religion.
Maintenant les choses sont tout autre, bien des gens émigrent
pour implanter leur religion et ils réussissent. Car la
nôtre, par notre laxisme a laissé un vide. On ne peut
pas vivre seulement du matérialisme.
Et nous verrons bien la différence de critique qui sera
faites par rapport à celles qui sont faites contre les
catholiques. Comme pour l'affaire des caricatures.
Nous nous ferons
tout petits. Nous aurons peur des représailles. Ce sera
la perte de notre liberté ou plutôt celle de nos
petits enfants, Celle de l'héritage que nous leur
auront laissé.
|
 |
|
 |
|
|
|
 |
|
|
Les
nouveaux convertis de l'islam
Le
phénomène toucherait 3 600 personnes par an en France.
À côté d'une séduction intellectuelle et
spirituelle, c'est dans les banlieues que ces
conversions sont les plus fréquentes
|

|
Le
basketteur français, Tariq Abdul Wahad, converti
à l'islam en 1997. Ici au salon du Bourget, lors
de la 18ème rencontre annuelle des Musulmans de
France organisée par l'UOIF, le 28 avril 2001
(Photo Fedouach/AFP).
Jean Gouraud a embrassé l’islam il y a huit
ans. Il avait 18 ans. « J’étais de culture
catholique, mais j’avais arrêté de pratiquer
», raconte ce jeune homme de la région
parisienne, âgé aujourd’hui de 26 ans. Arrêt
de la pratique catholique, mais poursuite de la quête
spirituelle. Ailleurs. Et d’abord avec «
beaucoup d’amis musulmans que je fréquentais »,
explique-t-il.
|
Une
première approche de l’islam, prolongée et nourrie
par des lectures et de rencontres avec des musulmans…
convertis de la première génération, il y a une
vingtaine d’années. Notamment ceux qui ont fondé
l’institut des hautes études islamiques d’Embrun,
lié à
la Mosquée
de Lyon. « C’est avec eux que j’ai pu avancer »,
explique-t-il. Et embrasser définitivement l’islam,
en prononçant la chahada, la profession de foi
islamique tirée du Coran : « J’atteste qu’il n’y
a pas d’autre divinité que Dieu et que Mohammed est
Son Envoyé. » Unique rituel à faire devant deux témoins
nécessaire pour devenir musulman.
Comme Jean il y a huit ans, prénommé désormais Abd Al
Wadoud, ils seraient aujourd’hui une dizaine par jour
à se convertir à l’islam en France, « selon les
remontées que nous font les responsables associatifs
musulmans », signale Didier Leschi, chef du bureau des
cultes au ministère de l’intérieur. Soit 3 600
convertis par an environ.
Entre
30 000 et 70 000 convertis à l'islam en France
Combien
sont-ils aujourd’hui en estimation cumulée ?
Difficile à dire, mais des chiffres circulent. Évaluation
basse : 30 000. Haute : 70 000. « Il y a toujours eu
des conversions à l’islam, rappelle Didier Leschi. Ce
qui change aujourd’hui, c’est le type de mouvements
vers lequel les jeunes convertis se dirigent. »
Il y a vingt ans, en effet, la grosse majorité des
convertis français issus de la culture judéo-chrétienne
passaient par le soufisme, au terme dune quête
spirituelle dans le sillage notamment d’un René Guénon,
qui a joué un rôle spirituel très important dans les
conversions à l’islam après-guerre.
Aujourd’hui, les convertis découvrent de plus en plus
l’islam dans le cadre dune proximité vécue avec
celui des banlieues. Et, contrairement à Jean « Abd Al
Wadoud » Gouraud, plutôt dans la lignée des convertis
de la première génération, un nombre croissant optent
pour un islam radical, notamment via le salafisme, précise
Didier Leschi. Échappant aux mosquées et aux grandes
organisations islamiques françaises, quelles quelles
soient.
« Jeunes en rupture familiale, en conflit générationnel
avec leurs parents, ils n’ont pas la valeur
familialiste que les grandes organisations prônent, et
n’ont pas la même rigueur dans la pratique »,
souligne encore le responsable du bureau des cultes.
Conversion
de proximité
La
conversion de proximité : un phénomène déjà décrit
par la sociologue Fatiha Ajbli, membre de l’union des
organisations islamiques de France (UOIF), auteur dun mémoire
de DEA sur la conversion dans le Nord, département où
certains jeunes non musulmans côtoient l’islam au
quotidien à l’école.
Un phénomène que constate aussi Éric « Younès »
Geoffroy, islamologue à l’université Marc-Bloch de
Strasbourg. Lui s’est converti en 1984 via le
soufisme, après une quête spirituelle « de longue
haleine » le faisant passer par le catholicisme sa
religion d’origine, la pratique zen, le bouddhisme, le
christianisme orthodoxe, puis l’islam.
« Jusqu’à il y a une quinzaine d’années, la
plupart des conversions étaient comparables à la
mienne et passaient par un intérêt spirituel, explique
l’universitaire alsacien. Ce qui est nouveau, ce sont
les conversions de proximité, dans les cités, où des
jeunes Européens, pas toujours français d’origine, côtoient
des musulmans. Ce sont des conversions plus simples que
la mienne. Et là-dedans, il y a des conversions
salafistes, ou même djihadistes. Ce dernier phénomène
est incontestable, mais marginal. »
|
|
|
 |
|
|
|
 |
|
|
Un phénomène qui avait attiré l'attention des RG
Un
phénomène perçu notamment lors des récentes tentatives
d’attentats en Grande-Bretagne, et qui avait attiré
l’attention des Renseignements généraux (RG) français en
juin 2005. Un rapport remis alors au ministre de l’intérieur
Nicolas Sarkozy par les RG présentait les conclusions dune étude
menée sur 1.610 convertis, repérés par la police comme étant
prosélytes, impliqués dans des faits de délinquance
certains passant par la prison ou ayant des relations avec des
radicaux. Dans 37 % des cas étudiés, l’environnement
social et les fréquentations étaient à l’origine de
l’apprentissage de l’islam.
Loïc Le Pape, doctorant à l’École des hautes études en
sciences sociales de Marseille, a étudié certains cas de
conversions à l’islam, sur les secteurs de Strasbourg et
Marseille.
Il distingue pour sa part quatre types de convertis
aujourd’hui : « Un tiers sont des convertis mystiques à
l’issue dune quête spirituelle, un tiers le sont par
proximité avec des musulmans, notamment dans les banlieues,
et un autre tiers sont des convertis par le mariage avec un
conjoint musulman », constate-t-il. Car même si un musulman
peut se marier avec une adepte dune autre religion monothéiste,
une musulmane doit épouser un coreligionnaire.
Des
conversions plus idéologiques qu'avant
«
Certaines de ces conversions existent pour faire plaisir à la
belle-famille, ou au conjoint », précise Kamel Kabtane,
recteur de
la Grande Mosquée
de Lyon. Et ne débouchent pas forcément sur une conversion réelle.
« Il reste un quatrième type de conversion, radicale,
touchant une population jeune qui en d’autres temps se
serait engagée dans la bande à Baader », souligne Loïc Le
Pape.
Sans forcément être synonymes de radicalité, certaines
conversions sont en tout cas « plus idéologiques,
contiennent un rejet de la société occidentale, comme avant
on pouvait adhérer à un parti politique », souligne Bruno
« Abd Al Haqq » Guiderdoni, astrophysicien, converti il y a
vingt ans.
« Pour certains, l’islam est devenu un moyen de marquer sa
différence », souligne aussi Marc « Aberrachid » Bossa,
qui a prononcé la chahada il y a vingt-cinq ans devant le
recteur de
la Grande Mosquée
de Paris d’alors, Si Hamza Boubakeur.
|
|
|
 |
|
|
|
 |
|
|
"Des
jeunes en recherche de repères"
«
Les jeunes gens issus des quartiers qui se convertissent sont
en recherche de repères, constate Kamel Kabtane. Ils
rencontrent l’islam autour deux, et c’est l’islam qui
vient répondre à leur questionnement sur la famille,
l’autorité, etc. En venant à la mosquée, les jeunes
convertis retrouvent un environnement, une démarche
communautaire, et ils se sentent entourés. »
Ainsi, là où les convertis français d’il y a vingt ans
voyaient leur démarche comme un prolongement et un
aboutissement de leur origine judéo-chrétienne, dans une
optique spirituelle et apolitique, les jeunes issus des
banlieues qui se convertissent aujourd’hui à l’islam
accompagnent cette démarche de convictions sociales ou
politiques, en rupture avec la société actuelle. « Il y a
un vide de formation », souligne Éric Geoffroy.
Les organisations musulmanes françaises ont des difficultés
à s’adapter à cette donne, qui n’est pas assimilable au
phénomène de « reconversion » de jeunes de culture
musulmane, réel lui aussi.
Des formations spécifiques dans les mosquées
Pour
accompagner la démarche des nouveaux convertis, certaines
mosquées ont cependant mis en place des formations qui leur
sont notamment destinées.
La Grande Mosquée
de Paris, par exemple, propose des cours initiation religieuse
et fait passer un test de connaissances aux candidats, avant
de délivrer un certificat de conversion. Ce dernier étant
demandé surtout dans le cadre d’un mariage en pays
musulman, d’un pèlerinage à
La Mecque
, ou pour un futur enterrement.
De son côté, le conseil des imams de Marseille a créé
l’an dernier des sessions qui ont lieu tous les quinze
jours, visant à transmettre les bases de l’islam, souligne
l’imam Azzedine Aïnouche : « On propose aux convertis ou
à ceux qui veulent se convertir de suivre trois à quatre séances
de cette formation… » La suivent d’abord ceux qui veulent
se marier avec un musulman, ou d’autres « qui sont en
contact prolongé avec des musulmans dans les quartiers ».
Quelles que soient leurs raisons, ces convertis sont un «
objet détonement » pour Azzedine Aïnouche : « Ils ne
connaissent pas grand-chose de leur religion d’origine… »
Pierre SCHMIDT
***
|
|
|
 |
|
|
|
 |
|
|
Des
sportifs convertis à l’islam
Franck
Ribéry. À
23 ans, le footballeur professionnel de l’olympique de
Marseille est membre de l’équipe de France. Il a grandi à
Boulogne-sur-Mer, où certains de ses copains étaient
musulmans. Issu dune famille modeste et marié avec Wahiba,
origine algérienne. Il s’est converti durant son
adolescence et prie sur les terrains avant les matchs. «
Cette religion, c’est moi qui lai choisie. C’est aussi
elle qui me donne de la force », a-t-il expliqué au mois de
juin dans Paris Match.
Nicolas
Anelka. À 27 ans, le
footballeur joue actuellement à Fenerbahçe, en Turquie. Il a
grandi à Trappes, en région parisienne. Ses parents sont
venus de Martinique et travaillaient pour l’éducation
nationale. Il se serait converti vers 16 ans, alors quil était
stagiaire au PSG. Il ne parle pas ou peu de religion dans ses
interviews, sauf dans un entretien dans L’Équipe
magazine, en avril 2005 : « Je vis ma religion
sereinement, sans prosélytisme. »
Philippe
Troussier. L’ex-footballeur
professionnel de 51 ans a entraîné notamment le Nigeria et
l’olympique de Marseille. Il vit au Maroc depuis une dizaine
d’années, et s’est converti au printemps, avec sa femme.
Il a expliqué dans L’Équipe magazine du 8 avril
2006 que sa conversion correspondait à un «long cheminement».
Par ailleurs, d’après lui, sa conversion va lui permettre
de faire des trois petites filles qu’il a adoptées au Maroc
ses héritières, tout en les élevant dans leur culture.
Tariq
Abdul-Wahad (ex-Olivier Saint-Jean). Le
basketteur de 31 ans est le premier Français à avoir joué
en NBA, en 1997. Il est né à Maisons-Alfort, en banlieue
parisienne, de parents venus de Guyane. Il s’est converti en
1997, aux États-Unis, où il jouait pour l’université de
San Jose et où il a rencontré un musulman dont la force de
caractère et la générosité lont poussé à vouloir en
savoir plus. Il affiche sa religion (il y a d’ailleurs toute
une rubrique sur l’islam sur son site Internet personnel).
Il est marié avec une Française d’origine marocaine,
Khadija, qui porte le foulard. Ils ont trois enfants.
|
|
|
 |
|
|
|
 |
|
|
. |
|
|
|
|
|
|
|
 |
|
|
|
 |
|
|
|
|
|
|
 |
Soyez
persévérants dans la prière pour un Miracle
pour les JMJ
ou le CEI.
La récompense sera appréciée
par tous les habitants de la Planète
Quelle joie! Quel Bonheur!
|
 |
|
|
|
|
|
|
|
|
| |
| |
| . |
| . |
|
Voici le meilleur Site pour former
et fortifier l'esprit. |
|
Voici le meilleur Site pour franchir La Porte du
Ciel allègrement. |
| doit être
longue si nous la passons ailleurs qu'au « Ciel
»! |
| Ce
merveilleux endroit que notre Seigneur Jésus Christ
lui-même, nous a promis |
|
Papy pour
vous Servir.. |
|
|
|
 |
|
 |
|
|